„Rendez-vous avec Gréco“

Catherine Le Ray chante Juliette Gréco qui les a chantés: poètes, écrivains, auteurs-compositeurs “Je dois tout à mes seigneurs“ déclare Gréco à un journaliste, les seigneurs ont pour nom Jacques Prévert, Jean-Paul Sartre, Raymond Queneau et Mac Orlan qui écrit “Elle marche sur les eaux de la renommée, telle une reine des résurections pharaoniques, les bras surchargés de fleurs de lys en diamant et de rouge taillé dans le rubis“.

Ils lui donneront leurs mots et leurs mélodies, leur âme … d´autres seigneurs suivront:
Léo Ferré lui donne “Jolie môme”, Georges Brassens “La chanson pour l´auvergnat“, Charles Aznavour “Je hais les dimanches“, Guy Béart “Il n´y a plus d´après“, Charles Trenet compose pour elle “Coin de rue“, Serge Gainsbourg “La javanaise“, Maurice Fanon “Mon fils chante“.

Jacques Brel lui fera le plus beau des cadeaux: ses chansons et son pianiste! Catherine Le Ray privilégie les chansons à textes, et à l´instar de Juliette Gréco effeuille les mots, s´approprie la musicalité des poètes, et la pluralité du répertoire dont le tour de force consiste à passer de la fatalité de la tragédie humaine au comique de la situation.
De “J´arrive“ à “Si tu t´imagines“ !

Ainsi qu´elle met en scène Piaf et Barbara, et accompagnée par les meilleurs musiciens de la scène parisienne, Catherine Le Ray vagabonde dans l´univers de ce monstre sacré de la chanson française du 20ème siècle et revisite en mélodies et anecdotes leur jeunesse, leur combat, leur destin.

”Le charisme de Catherine Le Ray est l´harmonie de la gouaille d´Arletty, de l’authenticité de Piaf

Shows_Himmel von ParisSpectacle
 Sous le ciel de Paris

Catherine Le Ray voyage en musique dans le Paris d’hier et d’aujourd´hui. Elle évoque le Montmartre de son enfance entre le Moulin Rouge et le Lapin Agile, chante Bruant, Jean-Baptiste Clément, Carco, Guilbert, Fréhel et Mistinguette. Elle nous promène dans le Belleville de Piaf, le Ménilmontant de Chevalier et de Trénet, la Bastille de Lemarque. Elle valse sur le musette et la java de la rue de Lappe d’antan. Puis elle descend dans les caves de jazz du Saint- Germain-des-Prés de Vian, de Gréco au Tabou, dans les cabarets de la Rive gauche avec Cora Vaucaire et Barbara à l’Ecluse. Elle récite Guitry, Apollinaire et Prévert, cite Queneau, Breton, Doisneau et Mallet.

Elle déclame le Paris de sa jeunesse au Quartier Latin, le Paris des pavés, de la bohême et des bistrots, le Paris de Ferré, de Gainsbourg, de Montand, de Bécaud, d’Aznavour et de Brel, et celui plus présent de Marc Lavoine ou de Renaud.


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”Le charisme de Catherine Le Ray est un mélange
harmonieux de la gouaille d´Arletty, de l’authenticité
de Piaf et de l’élégance de Gréco.”

“Le rayonnement et la voix de la chanteuse suffisent pourque Catherine Le Ray puisse satisfaire aux exigences de son modèle, Edith Piaf.”

“Le charme souverain et le naturel de la présence scénique de Catherine Le Ray contribuent à donner à l´hommage un vif éclat.”

“Ce Paris nostalgique des illusions, tellement plus beau que la réalité, nous sommes fascinés par la diseuse et son accordéoniste.“

Shows_PiafXXXxSpectacle Piaf 
(1915-1963) Au bal des amours

Catherine Le Ray fait revivre en chansons, en textes et en photographies, l’histoire d’une carrière indissociable d’une vie intense faite de drames et de joies. Des chansons les plus méconnues aux grands succès internationaux qui ont transporté Edith Gassion des trottoirs de Belleville aux plus belles salles de New York, Catherine Le Ray passe en revue la vie de Piaf, une vie d’interprète, d’amoureuse et de découvreuse de talents, mais rongée par l’alcool et la maladie.

Dans les premières chansons de son répertoire, Catherine évoque Montmartre “Elle fréquentait la rue Pigalle”, “Dans ma rue”, “L’accordéoniste”, “Entre Saint-Ouen et Clignancourt”, la rive droite du Paris populaire de Piaf à celui plus mondain des Champs-Élysées où elle fut découverte un jour d´octobre 1935 par un certain Leplée. Et puis, il y a les chansons oubliées, celles que Piaf n’interprètera plus dans ses jours de gloire : “À l’enseigne de la fille sans coeur”, “Tout fout l’ camp” et “Je hais les dimanches” que Gréco s’appropriera magnifiquement.

“Catherine Le Ray n’imite pas, mais raconte et vit pour nous les rencontres et les amours de la “Môme Piaf” dont la carrière est indissociable d’une vie faite de drames et de joies. Elle chante avec talent et passion, s’assoit et raconte, chante à nouveau et n’hésite pas à descendre au milieu du public pour l’entraîner à quleques tours de valse, dans les “flonflons du bal”. Un grand moment d’authenticité et de charme.” (Ouest-France)

“[...] le spectacle de Catherine Le Ray, intitulé “Au bal des amours”, est un véritable feu d’artifice, un magnifique hommage à la môme Piaf [...] Catherine Le Ray se glisse avec un incomparable talent dans la peau de la môme de Pigalle, sans jamais tenter de l’imiter, use savamment des biographies qui ont été consacrées à Piaf, s’appuie sur les propres mémoires de la chanteuse pour donner autant de relief aux accents tragiques qu’aux moments de bonheur, en invitant entre autres les spectateurs à danser sur les airs des ‘Flonflons du bal’ “. (Le Télégramme)

 

Spectacle MéditerranéeShows_MediteraneeX

Accompagnée entre autres par certains des meilleurs artistes de la scène parisienne Gilou Villeroy et Samuel Garcia (piano et accordéon),Vanessa Sola (danse et chorégraphie)  Catherine Le Ray (voc) vous conduit en musique, danse et chansons de la “Route de Narbonne” à la “Nationale 7 de Trénet”, de la “Cannebière” de Scotto aux “marchés de Provence” de Bécaud, de “la Madrague” de Bardot à l´île de Beauté de Tino Rossi, mais aussi de la Camargue de „mon pote le gitan“  au Carnaval de nice et sa Baie des Anges


Le Gipsy Trio composé de Giorgi Schengelia (Guitare solo), Jo Jamo (Guitare) et Catherine Le Ray (voc) proposent un répertoire de célèbres chansons couplé de musiques latino-Swing-Jazz-Blues-et Musette, dans le style du Hot Club de France avec entre autre “les yeux noirs”. Catherine Le Ray interprète les chansons en francais, anglais et espagnol.
les 2 virtuoses Guitaristes jouent en alternance leurs propres compositions dans le style de Django Reinhardt et Paco de Lucia. (Hörprobe CD Guitar Dreams)

Spectacle Barbara (1930-1997)

« Il était un piano noir, de Paris à Göttingen »

D’après l’œuvre chantée et l’autobiographie de Barbara :
« Il était un piano noir ».

Spectacle musical (avec entracte) mis en scène, chanté et raconté par Catherine Le Ray, accompagnée au piano par Philippe Mira. Au violon, Martin Franke.

Voyage musical et poétique qui nous conduit d’anecdotes en chansons dans les méandres de la vie mouvementée de Monique Cerf-Barbara, auteur-compositeur-interprète, qui a rejoint aujourd’hui les légendes françaises du 20è siècle, à l’instar de Fréhel, Piaf ou Gréco.

Shows_BarbaraXxxXxXSes chansons se révèlent les clés d’un destin exceptionnel d’une petite fille juive née à Paris en 1930, marquée par la guerre et les privations, les déménagements et les malaises familiaux, une petite fille qui rêve d´être une pianiste chantante, accrochée à son piano noir. Voyage mélancolique et drôle à la fois que nous livre avec authenticité et émotion Catherine Le Ray, à travers le témoignage de Barbara, de ses débuts de « chanteuse de minuit » à l’Ecluse et à la Fontaine des Quatre Saisons. Elle croise les plus grands, Piaf, Brel, Brassens, Ferré, Moustaki, Aznavour, qu’elle interprète avant de ne plus chanter que les chansons qui lui ressemblent : les siennes.

Elle chante ses amours (« Dis quand reviendras-tu »,
« Attendez que ma joie revienne »), ses souffrances
(« Mon enfance », « Nantes », « Le mal de vivre »), ses voyages (« Gare de Lyon », « Göttingen », « Vienne »), ses combats (« Soleil noir », « Sid’amour à mort »), sa consécration (« Ma plus belle histoire d’amour »,
« L’aigle noir »), ses demeures (« Rémusat », « Précy »), dernière étape où Barbara se pose en 1977 et où la mort, en novembre 1997, vient interrompre son autobiographie commencée 7 mois auparavant.

Les 6 chansons interprétées en allemand sur le CD
« Mein Kompliment » (« Chapeau bas ») ont été traduites de manière congéniale par Walter Brandin pour Barbara après qu’elle fut passée à Göttingen.

Presse :

« Catherine Le Ray, Grande Dame de la Chanson, chante et vit Barbara, ses angoisses, ses désirs, ses rires, sa solitude, ses combats ; le public est conquis.  Sa voix est, comme le disait Barbara, ‘la musique de l´âme’ ; l’accompagnement au piano par Philippe Mira est un ravissement… ‘Merci, et Chapeau bas !’ » (Allgäuer Zeitung)

« Catherine Le Ray chante avec brio, telle une grande dame de la Chanson.  Elle se met dans la peau des grandes chanteuses, s’approprie leur vie et leurs chansons sans les imiter. Après Piaf, elle incarne Monique Serf-Barbara et rend un hommage tout particulier à l’amitié franco-allemande avec ‘Göttingen’, chanson écrite en 1964 après une invitation au théâtre du Junges Theater Göttingen. » (Badische Zeitung)

« Accompagnée au piano noir par le pianiste de jazz Philippe Mira, Catherine le Ray nous fait revivre Barbara, mais aussi la grande époque de la chanson (Piaf, Brel). Catherine Le Ray est émouvante, énergique et charismatique. Qu’elle chante en français ou en allemand, sa voix sait transmettre la magie des mots à un public émerveillé. » (Augsburger Allgemeine)